Headhunting Factory chez Usine Up

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Le 29 juillet 2022
4 minutes de lecture

« Comment fait-on pour aller chercher quelqu’un qui ne répond pas ? On l’appelle directement sur son portable. » – Olivier de Préville chez Usine Up.

Headhunting Factory chez Usine Up

Olivier de Préville, Président Fondateur d’Headhunting Factory répond aux questions de ses invités sur le plateau de Usine Up. 

Selon une étude Linkedin, 60% des candidats à l’écoute du marché et en recherche sont actifs sur la plateforme. Cela signifie aussi que 40% des candidats ne sont pas visibles. Les profils pénuriques du marché caché, inactifs sur le marché visible, ne sont pas chassés.  C’est de cette constatation qu’est né Headhunting Factory. Nous ne sommes pas un cabinet de recrutement mais un cabinet de chasse de têtes. Nous bannissons de nos méthodes l’utilisation des réseaux professionnels, jobboard et bases de données. Nos chargés de recherche identifient une entreprise susceptible d’avoir parmi ses employés le candidat pénurique recherché par notre client. Nous définissons ensuite son organigramme pour identifier une fonction , et contactons la personne derrière cette fonction. 

Dans un monde aujourd’hui guidé par la data, Headhunting Factory propose une approche sans réseaux sociaux. Est-ce que cela signifie que vous vous appuyez sur le réseau de vos chasseurs de têtes ? – Fabrice Pelosi, directeur associé chez EPOKA UP 

Le principe même d’un chasseur de têtes est de travailler sans réseau. Il va contacter quelqu’un qu’il ne connaît pas. Entretenir une base de données n’est pas de la chasse de têtes. Un vrai chasseur de têtes identifie quelqu’un dans une zone géographique à proximité de l’entreprise pour qui il recrute. Cela permet ainsi d’éviter les déménagements des candidats. Il analyse ensuite l’ensemble des entreprises qui pourraient avoir le bon talent parmi leurs employés pour contacter le bon candidat.
L’objectif d’Headhunting est de répondre aux besoins de nos clients sur des profils pénuriques. C’est pour cela que nos méthodes diffèrent des cabinets de recrutement traditionnels qui recrutent des profils non pénuriques. Nous n’avons pas mis en place d’entretiens physiques, nous nous limitons à 1h d’entretien téléphonique avant de passer le relais aux équipes de recrutement interne. Cela nous permet de proposer des prix abordables à nos clients. 

Comment arrivez-vous à arbitrer entre la nécessaire confidentialité de vos missions et la nécessaire médiatisation de votre business ?  – Caroline Chalindar-Giné, directrice du pôle influence et Relations Publiques chez EPOKA 

En tant que chasseurs de têtes, nous gardons la confidentialité des projets de nos clients. Lorsque nous dévoilons leur nom, avec leur accord, nous n’indiquons pas les postes donnés. Nous nous soumettons à la même règle de confidentialité lorsque nous approchons un candidat : cela ne doit pas se savoir. La médiatisation d’Headhunting Factory est cependant indispensable pour développer notre notoriété. Nous n’avons pas de concurrent au niveau européen, l’objectif est donc d’être visible sur les réseaux sociaux et dans les médias, tout en gardant la confidentialité de nos dossiers.

Votre business model se base sur l’humain. Vous appuyez-vous également sur des technologies dans votre offre de service pour rendre Headhunting Factory plus attrayant au niveau international ou vous reposez-vous uniquement sur la chasse et les personnes de votre équipe ? – Mark Wyatt, Head of KPMG Corporate Finance 

Le modèle d’Headhunting Factory n’a initialement pas été imaginé pour être attrayant au niveau international. Cependant, il l’est devenu. Notre modèle repose sur l’humain qui est accompagné par des technologies, pour faciliter les échanges avec nos clients. Nos chargés de recherche sont implantés dans le monde entier. Nous maîtrisons 14 langues ce qui nous permet aujourd’hui de chasser à l’international. Grâce au management à distance, nous avons accès à un plus grand marché, en France et à l’étranger, où les candidats n’ont plus nécessairement besoin de déménager pour intégrer une entreprise hors de leur région zone géographique

Retrouvez dans la vidéo l’intégralité des questions de :

Fabrice Pelosi, directeur associé chez EPOKA UP
Caroline Chalindar-Giné, directrice du pôle influence et Relations Publiques chez EPOKA
Axel Salmon, directeur associé chez EPOKA
Mark Wyatt, Head of KPMG Corporate Finance
Anne Lauvergeon, présidente ALP

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